Por la independencia de la OMS
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Qué es la vigía ?
Vigías de la 213° semana





Las personas que hicieron la vigía en el mes de julio de 2007 fueron ...

Guy Demenge y Carole Bouvier - el 2 julio de 2007
Denis Chalmel - el 4 julio de 2007
Bernard Nicolle - el 5 julio de 2007
Patricia Lariguet - el 6 juilet 2007
Véronique Ratel y Catherine Liebert - del 9 al 11 julio de 2007
Véronique Ratel, Marcelin y Jocelyne Grousselas - del 12 al 13 julio de 2007
Roland Essayan y Danielle Duval - del 16 al 20 julio de 2007
Guy y Frédérique Lereuil - del 22 al 25 julio de 2007
Dominique Krintger y Cyril Giraud - del 26 al 27 julio de 2007
Josiane Echeverria y Jakez Lesouef - del 30 julio au 3 agosto de 2007


Guy Demenge y Carole Bouvier delante de la OMS el 2 julio de 2007
 
Guy Demenge (Annemasse-Francia) y Carole Bouvier (Ginebra-Suiza)
el 2 julio de 2007

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Denis Chalmel (Mouazé-Francia)
el 4 julio de 2007
Denis Chalmel delante de la OMS el 4 julio de 2007

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Bernard Nicolle delante de la OMS el 5 julio de 2007
 
Bernard Nicolle (Feins-Francia)
el 5 julio de 2007

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Patricia Lariguet (Présilly-Francia)
el 6 julio de 2007
Patricia Lariguet delante de la OMS el 6 julio de 2007

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Véronique Ratel y Catherine Liebert del 9 al 11 julio de 2007
Véronique Ratel (Sens-Francia) y Catherine Liebert (Avon-Francia)
del 9 al 11 julio de 2007


On se lève à 6h30 du matin, pour être sur place dès 8h, quand arrivent les employés de l’OMS. Des supports métalliques ont été fabriqués pour nos panneaux : il y en a quatre à la base :
Crime de Tchernobyl, OMS complice”,
OMS 21 ans de silence et de mensonges”,
Amendez l’accord OMS-AIEA”,
et le logo “Independent WHO” (=OMS indépendante) du Collectif qui organise l’action.

Véronique en ajoute deux : “En Bélarus 80% des enfants sont malades, 15% avant l’accident. Pour l’OMS tout va bien” et le site Internet “www.independentwho.info

On doit se tenir debout ou assis, avec l’un des panneaux suspendu à son cou. Comme nous sommes deux, nous pouvons nous relayer pour aller à la cafétéria à midi, aux toilettes, ou faire une petite promenade… De 8h à 9h30, puis de 17h à 18h, grosse circulation de voitures entrant (le matin) et sortant (le soir) de l’OMS. Le nombre de 4x4 est stupéfiant! Des conducteurs passent sans un regard. Mais certains font des signes de sympathie. Il y a aussi, toute la journée, la ronde des bus urbains. Un chauffeur de bus nous sourit. Un camion d’éboueurs nous salue amicalement chaque jour. Des cars de touristes passent aussi et quelques passagers nous photographient. Il nous semble remarquer que les touristes asiatiques sont plutôt plus intéressés que les autres… Je crois que l’intérêt de ces mois d’été sera ces nombreux cars de touristes! Outre les employés de l’OMS, on voit passer à pied des visiteurs internationaux dont certains viennent s’informer et prendre notre dossier explicatif. Nous avons ainsi vu un journaliste médical polonais, un russe interpellé par le panneau sur le Bélarus, l’épouse d’un professeur en “global health” à l’Université de Denver, une employée au Bureau International du Travail. Ceux qui nous ont précédés ont eu d’autres contacts et ont donné des dossiers à des employés de l’OMS. Cette action peut faire tâche d’huile, remuer les consciences…

D’ailleurs, bien qu’elle semble si minime sur le plan matériel, elle dérange manifestement cette immense et riche machinerie internationale. J’en suis surprise et en même temps émerveillée. Que nous soyons ainsi un caillou dans leur chaussure, un prurit qui les démange, cela montre la force de ce que nous faisons. Nous n’aurons sans doute aucune efficacité concrète immédiate (et à long terme ?), mais nous avons une efficacité morale, spirituelle. Nous sommes des éveilleurs de conscience, des sentinelles qui rappellent l’essentiel. Comme Socrate… qui a mal fini ! Cela, il faut travailler à s’y préparer, à l’accepter si nécessaire. Je me dis, tandis que je me tiens avec ma pancarte devant ce carrefour, que je dois arriver à l’assumer parce que, derrière moi, il y a tous ces enfants malades abandonnés, niés, et tous les enfants à venir qui souffriront de la contamination de Tchernobyl; et tous ceux dans le monde qui subissent et subiront la même chose à cause des centrales nucléaires et des armes à l’uranium appauvri, et que l’on voudra aussi cacher, nier, confisquer, abandonner. Un employé de la voirie s’arrête pour nous parler chaque jour. Il pense que nous avons raison mais que nous risquons d’être tabassés si nous persistons trop longtemps. Je ne lui accorde pas une crédibilité immense, mais il ne faut pas totalement exclure de telles extrémités… Une genevoise en fauteuil roulant vient lundi nous apporter du jus d’orange, des bières, une génoise au citron. Elle reste parler avec nous et, sur proposition de Véronique, suspend un panneau devant sa chaise roulante. C’est une femme très sympathique, apparemment très battante. Elle critique beaucoup Genève, ville de riches peu généreux d’après elle, et raconte qu’elle a dû lutter pour que les handicapés physiques soient pris en considération par la Ville. Elle a été sage-femme, a travaillé en Afrique, s’est occupée de gens marginalisés après sa retraite.

Rester ainsi toute la journée sans rien faire, sans changer de place, me faisait peur au début. Mais j’ai pu m’asseoir souvent et longtemps et je n’ai donc pas eu mal au dos. Et puis, je ne me suis pas ennuyée, même pendant les moments où je suis restée seule: quand Véronique allait à la cafétéria, quand elle est allée changer de l’argent… J’étais parfaitement bien. Je pensais à des tas de choses, je regardais les voitures et leurs conducteurs, j’étais en total accord avec ce que j’étais en train de “faire”. Cela a été beaucoup plus facile que je ne le redoutais. Et moi qui suis toujours si bouleversée, si déstabilisée, si peu sûre de moi quand je dois défendre mes positions anti-nucléaires, j’oubliais par moment que je portais une pancarte et que je me faisais voir… J’étais à ma place!

Nous sommes allées voir, chacune notre tour, l’OMS, car du carrefour où nous étions postées, nous n’en avions qu’une vue fragmentaire. Bâtiment de prestige et d’auto-glorification: immense immeuble de verre, jardin et sculptures devant la façade, logo et la mission déclarée “amener tous les peuples du monde au plus haut niveau de santé” inscrite en plusieurs langues. Et puis, quand on tourne la rue pour sortir, juste en face, nous et nos petits panneaux ! Cela m’a fait un choc: j’ai vu à la fois notre faiblesse et notre force! Et je n’avais pas réalisé jusqu’alors à quel point nous sommes bien placés! Bien mieux que devant l’entrée! En outre, nous sommes dissimulés par les arbres en rideau le long du mur du bâtiment, ce qui a permis à certains employés de venir nous voir sans être vus. Un très grand nombre d’entre eux sont en situation précaire, en contrat court, sans couverture sociale. Pas étonnant que ces employés ne fassent pas de vagues! Merci au chef de la police, que je soupçonne de nous avoir fait une fleur en nous octroyant cet emplacement de rêve. En plus de tous ces avantages stratégiques, nous sommes abrités par des arbres qui protègent du soleil (quand il y en a…) et de la pluie (quand elle est fine), à cinq minutes d’une cafétéria et devant un jardin que sa propriétaire a mis à notre disposition pour entreposer nos chaises et nos supports métalliques le soir. Ces deux jours-et-demi, j’ai été en unité avec moi-même. Authentique. Dans ma vie, je suis "schizophrène": il y a ce que je sais sans rien y faire, et ce que je fais comme si je ne savais pas. Entrer dans l’action a été un stress à gérer. En sortir est difficile: il faut remonter des profondeurs, retrouver les frivolités. Et ne pas oublier.
Catherine Liebert
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Véronique Ratel (Sens-Francia), Marcelin y Jocelyne Grousselas (St Cyr la Rosière-Francia)
del 12 al 13 julio de 2007
Véronique Ratel, Marcelin y Jocelyne Grousselas delante de la OMS del 12 al 13 julio de 2007

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Roland Essayan y Danielle Duval delante de la OMS del 16 al 20 juillet 2007
 
Roland Essayan (Fontaine les Dijon-Francia) y Danielle Duval (Panissières-Francia)
del 16 al 20 julio de 2007

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Guy y Frédérique Lereuil (Sivignon-Francia)
del 22 al 25 julio de 2007
Guy y Frédérique Lereuil delante de la OMS del 22 al 25 julio de 2007

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Dominique Krintger y Cyril Giraud delante de la OMS del 26 al 27 julio de 2007
Dominique Krintger (Malansac-Francia) y Cyril Giraud (St Médard en Jalles-Francia)
del 26 al 27 julio de 2007


26.07.2007, 9h, 11h04 : 1 car de touristes entre à l’OMS puis ressort 2 minutes après: le commentateur doit parler de nous car tous les regards se portent sur moi à la sortie.
26.07.2007, 9h41 : une ambulance rouge arrive tout feux hurlants sur le P15 et repart à 10h01.
26.07.2007, 10h30, 12h00, 14h, 17h : un petit train touristique “Internationnal Panoramic Tour” passe devant la vigie, sans commentaire particulier, puis s’arrête quelques instants devant l’entrèe du P15.
26.07.2007, 11h22 : une voiture de police sort de l’OMS, ouvre la fenêtre et nous adresse un bonjour ostentatoire. Je réponds poliment. Pas de relevé d’identité pendant ces 2 jours.
26.07.2007, 11h40: une jeune femme qui travaille à l’OMS au fond mondial pour le SIDA prend des dossiers. Je lui parle rapidement du “SIDA nucléaire”.
26.07.2007, 12h27 : 2 ados du quartier questionnent. Je leur donne un dossier. (il me semble les reconnaître quelques minutes plus tard dans une voiture immatriculée CD).
26.07.2007, 13h05 : 3 personnes passent et prennent un dossier.
26.07.2007, 13h30 : une dame de 84 ans ex militante WWF habite le quartier et passe souvent ici. C’est son premier contact avec notre action. Sa fille est enseignante en biologie dans un collège à Genève.
26.07.2007, 14h10 : un monsieur me demande l’autorisation de me prendre en photo pour son blog http://hombrenlaluna.blogspot.com, prénomé Aloïs (au 2 aoùt, je n’ai rien vu sur notre action sur son blog). Faute d’espagnol, il prend un dossier en anglais. Il repasse quelques instants après avec un Sharan CD.
26.07.2007, 14h40 : une jeune femme parlant espagnol prend un dossier.
26.07.2007, 15h : 3 étudiants brésiliens prennent un dossier et des photos “pour montrer qu’une seule personne, c’est possible”.
26.07.2007, 18h : Marie-Hélène & Dominique me rejoignent pour tenir la vigie le lendemain. Carole Bouvier nous rend visite et nous invite au Resto !!!

27.07.2007, 7h : je retrouve la personne travaillant à l’OMS au petit-déjeuner de l’auberge de jeunesse. Il a lu le dossier et m’indique vouloir suivre l’action. Nous échangeons nos mails.
27.07.2007, 7h45 : mise en place de la vigie avec Dominique & Marie-Hélène.
27.07.2007, 10h : un monsieur d’origine africaine connaît notre action et vient nous encourager.
27.07.2007, 10h15 : une dame qui était en poste à l’OMS en 1986 nous conseille des panneaux issus d’un travail artistique avec des enfants, avec de la couleur, pour attirer d’avantage le regard.
27.07.2007, 11h05 : un couple de Genève prend la doc et discute.
27.07.2007, 12h30 : un couple discute et prend la doc. Je réfute l’affirmation de monsieur qui dit que “c’est un accident qui a eu lieu il y a plus de 20 ans”, et précise que “c’est un accident qui a duré 10 jours il y a plus de 20 ans, mais c’est une catastrophe actuelle, avec des enfants nés récemment qui tombent actuellement malades à cause de la contamination de la chaîne alimentaire et de l’absence de contre-mesures suffisantes.”
27.07.2007, 13h10 : une personne travaillant à l’OMS vient chercher une doc.
27.07.2007, 13h-13h20 : une personne travaillant en lien avec l’OMS mais pas à l’OMS demande des renseignements et reste à discuter longuement. Beaucoup de signes d’amitié de la part de personnes à pieds, en voiture ou en car.
27.07.2007, xxx : la même dame qu’hier vient s’asseoir et discuter ¼ d’heure et proposer des gâteaux...
27.07.2007, xxx : 1 jeune homme en vélo prend la doc et discute. Plusieurs personnes sont étonnées de l’espace où nous sommes.
27.07.2007, xxx : 1 jeune femme (>50 ans) propose de nous prendre en photo + longue discussion. Informaticienne à l’OMS, elle va perdre son boulot car l’ERP dont elle assure la maintenance va être remplacé.
Cyril Giraud
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Josiane Echeverria y Jakez Lesouef delante de la OMS del 30 juillet al 3 aoùt 2007
Josiane Echeverria (Redon-Francia) y Jakez Lesouef (Redon-Francia)
del 30 juillet al 3 aoùt


Peu de chose à rajouter sur les différents comptes rendus déjà réalisés. Je voudrais redire nos états d’âme ... l’angoisse sourde et furtive de n’être là pour rien.... devant la ronde des grosses voitures et autres 4X4... devant l’indifférence- feinte ou réelle- des conducteurs et passagers ...devant (et sous !! ) cette putain de pluie.... regarder les "zoms/oms" mobiler dans leurs téléphones, l’air grave comme si l’Avenir du Monde étaient entre leurs mains tenant le sandwich au jambon suisse de la main droite et l’ordinateur portable de la gauche ... Merde, qu’est ce que je fous là....

Et puis... et puis..., y a le soleil du frais matin, cette dame qui passe avec sa voiture ordinaire, qui nous sourit et nous fait un “coucou” très Suisse, très chaleureux, ce conducteur de car qui nous fait un pousse levé...., la Grande Dame sculpteuse et hébergeuse de notre barda, cette Grande Dame, notre voisine si gentille qui veut qu’on sauve les enfants et dénonçons les méchants.... Madame, je vais vous jouer un peu de biniou pour vous dire MERCI d’héberger nos panneaux et notre intendance! Je vous propose de cette cornemuse que nos cousins Ecossais appellent le WAR-PIPE, la Cornemuse de Guerre, car nous sommes en guerre contre les méchants, n’est ce pas ?... Franchir la barrière de la Dame de Compagnie Espagnole et à son appel enfin -“mais, quel jour sommes-nous donc aujourd’hui ?”-, lui jouer “War-zu an héol” (“vers le soleil”) et Amazing Grace... le soleil brille dans ses yeux et ceux de sa Dame de Compagnie ...yeux mouillés... ... les sculptures monumentales ( SES sculptures !! ) dansent dans le parc ....des “zoms (et fams) oms” sortent précitamment des bureaux... mais- cé -qui- pourquoi-où çà? on entend mais on ne voit rien.... C’est rien les gars les filles, juste un petit clin d’oeil à cette Bonne Dame de Genève, retournez dormir, on veille... on ne dérange pas le voisinage... non...le voisinage, il n’aime pas l’injustice et il est avec nous, simplement.

Et puis... et puis y a aussi ce sentiment qui nait petit à petit de tenir le “bon bout” comme disait ma maman, seuls devant la machine OMS/AIEA, petits Etres Humains Messagers, pugnaces et enragés, dignes et solides, granitiques... oui, ENRAGES... Et puis au fil des heures et des jours, des cadres en cravates et “Premiers de la classe” se risquent... ils viennent, traversent la route, un peu hésitants, confiants dans ma chemise blanche, mon pantalon noir nif de nif, pompes cirées, et (cerise sur le gateau...) mon noeud- papillon de mon mariage, une vague allure de Professeur Tryphon Tournesol qui peut donner confiance au Sérail... Question de l’hom/OMS: “vous devriez publier dans “Nature”, cette fameuse revue “Sésame” de référence”... Réponse: “mais lorsqu’il y a un problème de choléra, de béri-béri, de grippe... attendez-vous 21 ans et des publications dans “Nature” (prononcez nez-tcheure) pour intervenir? Ces enfants, ces liquidateurs sont-ils MAUDITS? L’OMS doit retrouver sa dignité, vous devez l’y aider, aidez-nous, parlez en à l’intérieur... ? A propos, en parle-t-on à l’OMS? Parle-t-on de notre présence à ce carrefour au petit café du matin, en réunion ?”.... Réponse (importante): “OUI, on en parle, vous faites débat...” ....

Je suis très heureux ce soir: la forteresse des menteurs se lézarde, le Cheval de Troie fait lentement son office, le Grand Dérangement aurait-il commencé? Je suis aussi content de sourire aux touristes qui prennent des photos, ceux là qui mitraillent inlassablement n’importe quel bâtiment de ce quartier et qui soudain tombent sur des porteurs de pancartes... annonceraient-ils la venue prématurée du Messie? Regarde là-bas! Ils parlent de l’OMS, de Tchernobyl... mais pourtant, c’était y a longtemps.... ce n’est pas fini cette histoire? Vite , une photo...

C’est certain, Blix et Al Baradei... Hernandez, Yarmonenko... et tous les VRP de l’Atome AIEA... tous les esclaves de l’OMS sont gènés par ces moucherons- vigies, car ils ignorent notre détermination et les relations internationales qui commencent à se tisser... jusqu’à quand allons-nous continuer... Je voudrais enfin dire l’énorme sentiment de notre capacité à faire bouger les choses qui nous a animé lors de notre présence, debout seuls devant la machine AIEA/OMS, les failles que nous avons commencé à percevoir devant un système apparemment bien huilé. La nécéssité aussi de changer concrétement les textes des pancartes pour ajouter un message plus lisible sur les enfants, les Liquidateurs.... On ne touche pas à l’enfance ..... Ce sentiment primaire, juste et fort doit être justement mis en avant.

Concrètement, je conseille aux vigies de se méfier de la chèreté de la vie Suisse et d’en profiter pour aller voir Genève ”by night” (ah le bo jet d’eau géant...) et d’en profiter aussi pour lire ou relire le très indispensable livre de notre secrétaire des “Enfants de Tchernobyl -Bélarusé Wladimir Tchertkoff: “LE CRIME DE TCHERNOBYL” aux éditions Acte Sud. Livre rempli d’infos incroyables et indispensables, facile à lire, livre véritable “arme de destruction massive” de cette engeance du Mensonge, le “cauchemard de Chan”, le livre qui donne des poussées d’acné à l’OMS/AIEA, bref, le seul livre qui a permis à David de vaincre Goliath...

Encore ceci: aucun contact avec la police genevoise juste quelques passages “de routine” en voiture... quelques visites un peu “suspectes” avec lesquelles nous avons peu parlé. A la question “pourquoi êtes vous là”, nous leur avons juste montré les photos les plus dures de l’Agence Magnum. La vision de ces photos est absolument insupportable, surtout lorsqu’elle est soudaine et elles vallent mieux -parfois- qu’un long discours. Ces photos devraient être à disposition des vigies en permanence. Enfin, lorsqu’on nous pose la question si nous sommes “anti-nucléaires”, nous avons répondu que la question -évidemment -était un débat majeur, mais que, en ce qui nous concernait, nous étions là principalement pour dénoncer l’accord contre nature OMS/AIEA , pour que les 500.000 enfants de Tchernobyl soient soignés dans le cadre de l’OMS et de sa constitution, pour que la pectine soit administrée, que l’Institut Belrad de Minsk soit soutenu et aidé en tant que partenaire de l’OMS, que les Liquidateurs survivants soient enfin reconnus, soignés, que l’OMS cesse enfin de mentir sur Tchernobyl, cesse d’être le “Toutou” de l’AIEA, et si ce discours s’enlise, nous leur montrons à nouveau les photos des Enfants et des Liquidateurs Martyrs.

Merci aux Genevois pour l’acceuil, MERCI encore à Alison pour sa gentillesse, sa disponibilité et ses explications sur la mentalité Suisse et le fonctionnement de ce Pays.
Josiane et Jakez
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